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Après quatre années d'absence, 24 revient pour une saison efficace et rythmée s'achevant sur un final sombre et émouvant. Une suite ?
Du 24h Chrono classique, qui brille cependant avant tout par son manque d'innovation et/ou d'originalité. Certes sympathique à regarder. Des notes à la baisse malgré une réalisation, technicité etc toujours aussi parfaites. Des notes qui plongent en conséquence du manque d'originalité des épisodes, tout est télégraphié, rien ne sort de l'ordinaire. Pour le reste cela reste de l'excellente réalisation et exécution, y a rien à redire à ce niveau.
Une progression dans l'épisode 4 qui avance avec rythme. L'épisode 5 aurait mérité une note plus élevée, sauf que trop d'éléments de la trame principale sont prévisibles à souhait. La saison jusqu'ici ne surprend pas et ne prend pas de risques, ressemblant ainsi plutôt à du fan service qu'à une saison autonome. Si il n'y avait pas eu 8 saisons préalable je ne suis pas sûr qu'il y aurait beaucoup de buzz autour de cette série.
Un épisode dans la continuité des deux premiers. Solide sans être révolutionnaire.
Après un premier épisode qui introduit les personnages, le second introduit la première intrigue. De bonnes scènes avec Jack et Chloé, qui continuent d'avoir ce rythme typique de 24 qui nous fait revenir à chaque fois pour voir ce qui va suivre. Après ces deux premiers épisodes qui posent les bases convenablement sans toutefois briser les codes introduits par les saisons précédentes (d'où les notes assez proches de la moyenne), on attend au final avec impatience de voir où la saison va nous mener.
Du Jack Bauer assez traditionnel, c'est rythmé correctement, c'est entraînant et on a envie de savoir ce qui va se passer et c'est bon de revoir Kiefer Sutherland être badass en tant que Jack Bauer. Toutefois de sacrés faiblesses plombent un peu l’ensemble.
Il va falloir profiter de ces dernières heures, sans savoir de quoi l’avenir sera fait, mais on peut être rassuré sur la capacité de 24 à être toujours ce divertissement décomplexé, bas de plafond et bourrin, sorti tout droit des 80’s pour ses thématiques chères à Chuck Norris mais remis au goût du jour par des procédés bien modernes.
On en reparle dans 12 épisodes.
Jack Bauer is back baby ! Et si la série n’a plus rien à voir avec le choc de son lancement en 2001, elle est néanmoins devenue ce rendez-vous indispensable, un plaisir coupable bien léché, qui vide la tête autant qu’il est jouissif.
Et c’est bien tout ce qu’on lui demande.