128 addicts de cette série
Un season premiere qui surprend sans que l’on s’y attende, et qui préfère mettre à profit des personnages secondaires. Une idée qui donnera peut-être un nouveau souffle à la série. Une bonne surprise.
30 Rock joue donc gros sur ce dernier épisode de la saison. Et j’espère que le public sera assez indulgent pour continuer à regarder la série (même si je n’en doute pas, ça reste 30 Rock quand même). Mais je pense parler au nom de beaucoup en disant que cette troisième saison peut être considérée comme un passage à vide assez important. Quelques épisodes ont réhaussé le niveau mais ceux-ci auront été trop peu, malheureusement. Enfin, tout ça, j’en parlerai dans mon bilan de saison qui arrivera dans pas trop longtemps.
Alors que la saison touche bientôt à sa fin (l’épisode de la semaine prochaine est le season final), 30 Rock, dans un dernier souffle, tente un retournement de situation.
Un petit coup de mou donc pour cet épisode qui reste agréable à regarder.
« The Ones » est donc un épisode aussi charmeur que drôle. Il met l’accent sur l’apparence des personnages, sur le rôle qu’ils jouent par rapport aux autres personnages (par exemple, Tracy qui a l’image du dragueur) et c’est toujours agréable de voir que 30 Rock a définitivement repris le bon chemin !
Cette semaine, une dérangée sexuelle s’est introduite dans les locaux de TGS. Je ne garderai pas le suspens plus longtemps, cette folle furieuse, c’est Liz.
Encore une fois, 30 Rock nous fait passer un très bon moment. La série nous fait vite oublier le petit coup de moins bien qu’elle a vécu récemment et les phrases cultes fusent! D'ailleurs je finirai par les dires d'une certaine Liz Lemon qui vit un moment délicat : « They may take my dignity but they will never take our straws ! » Amen.
En résumé, cet épisode a largement de quoi faire taire les mauvaises langues et prouve que 30 Rock n’a pas dit son dernier mot. Les acteurs sont tous très bons, et c’est grâce à ce genre d’épisodes qu’on se dit qu’en fait, chaque personnage à son rôle à jouer pour réussir à toucher autant le spectateur, que ce soit directement ou sur la durée.
Quoi qu’il en soit (et les points d’exclamations omniprésents dans cette critique le prouveront), cet épisode nous offre de jolies minutes comblant à merveille le manque d’originalité des derniers épisodes (excepté celui de la semaine dernière).
Au fil des épisodes et des saisons, on s’aperçoit que 30 Rock a des limites dues, notamment, à la série elle-même qui s’est imposée comme un colosse de la comédie. Une question se pose alors, entre répétition et novation, où se place-t-elle ?
Quoi qu’il en soit, un épisode vu et approuvé !