71 addicts de cette série
Pour sa troisième saison, Atlanta atteint sa forme finale en s’émancipant de la structure traditionnelle de la comédie télévisée grâce à un mélange d’épisodes anthologiques, véritables courts métrages surréalistes, et des intrigues feuilletonantes plus classiques. La série traite ici de la question de l’identité Noire avec des récits audacieux et l’expertise d’une équipe créative directement concernée par les thématiques qu’elle explore. Succès critique incontestable, cette nouvelle saison a malheureusement dérouté une partie de son public, s’enlisant comme un show de niche malgré un propos on ne peut plus actuel et un sens de la narration singulier.
Atlanta a forgé sa légende au fil des semaines de cette seconde saison d’exception. Assurément ce qui se fait de mieux en télévision en ce moment.
Ce season finale traite d’un sujet de société profond avec le brio et l’expertise qu’on connaît à la série. Il assimile l’ensemble de la saison écoulée pour nourrir son intrigue à travers des parallèles judicieux.
Sujets de fond pour un épisode singulier réussi. Atlanta continue de surprendre tout en continuant de nourrir sa mythologie.
Atlanta retrouve son rythme de croisière pour instaurer une nouvelle direction à son intrigue principale.
De part son histoire particulière, ce huitième épisode frappe par sa profondeur et son humilité au service d’une réflexion personnelle qui parle à tous.
Exercice de style d’une finesse et d’une profondeur admirable. Un véritable chef d’œuvre qui marque cette saison télévisuelle et hisse un peu plus Atlanta au rang de série culte.
Standalone aux répliques et mise en scènes piquantes soulignées par la prestation d’exception du casting. En un mot, culte.
Le potentiel du scénario se voit gâché par une mise en scène souvent à côté de la plaque.