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Un épisode qui marquait un tournant dans l'histoire de Glee, mais bien en dessous de ce qu'on a pu connaître dans les deux premières saisons. Un côté nostalgique avec la reprise de vieilles chansons de la série et le retour d'anciens, mais pas assez émouvant pour nous tirer la larme à l'œil. Le Glee club c'est fini, place maintenant à la vie New Yorkaise, et ce n'est peut être pas plus mal.
Un bel hommage émouvant au personnage de Finn mais aussi à Cory Monteith.
Un excellent épisode porté par une bande originale des plus inventives qui clôt admirablement la saison et ses storylines (identité du père du bébé de Sue/mariage Will-Emma/le catfish de Ryder...) pour en faire venir d'autres qui nous maintiendront en haleine, du moins on l'espère, la saison prochaine (Rachel et Funny Girl/Mariage Kurt-Blaine...). Cet épisode, de son nom « All or Nothing », nous propose justement... tout ! Et ça fait plaisir... Bonne pause estivale à tous les Gleeks et à très bientôt !
Un épisode qui malgré le retour de certains anciens et quelques intrigues intéressantes, finit par lasser au son de chansons peu entraînantes et n'arrive qu'à fournir une certaine amertume d'inachevé.
Oh, mais quel est ce charmant oiseau qui s'écrase ? C'est Glee ! Sérieusement, j'espérais n'avoir jamais à le dire jusqu'à la fin de la saison, mais ce 4x20 aux intrigues sorties de nulle part et à la liste de chansons complètement morte aura eu raison de mes nerfs : virez-moi McKinley, ramenez-moi tous les anciens et faites que les scénaristes se creusent un peu la tête !
En plus de nous faire renouer avec les débuts de la série, Glee nous propose tout ce qui a fait sa renommée : de l'humour, de la fraîcheur, de l'émotion, des intrigues maîtrisées, une excellente songlist et ses messages d'espoir et de solidarité. Que demander de mieux ?
Si vous avez déjà vu l'épisode « Une Nuit de Chien » de la formidable série Six Feet Under, alors vous comprendrez clairement les enjeux de ce 4x18. Shooting Star marque un pas dans l'anthologie de la série, en voulant clairement se démarquer de tout ce qu'elle avait pu nous proposer jusqu'à présent en matière d'effroi. La playlist, la technique et les jeux d'acteurs sont suffisants pour nous captiver au son de l’événement qui marquera l'histoire du Glee Club. Certes, s'il est vrai qu'une plus forte prise de risque aurait été la bienvenue, on ne peut négliger le fait que la série a su faire de cette fusillade un moyen détourné pour rassembler toujours mieux ses personnages et projeter de nouvelles directions, un enjeu qui s'avérait risqué à ce stade de la saison.
Si l'épisode possède une énergie légèrement en deçà de celle de Feud, inutile de dire que la caméra d'Eric Stoltz – également à l'origine de l'épisode des Nationales de l'année dernière – en a fait valser plus d'un lors de ce 4x17 entraînant et aux intrigues qui prennent considérablement en profondeur. Si Guilty Pleasures souffre de quelques défauts et de scènes loin d'être nécessaires, il bénéficie cependant d'une bonne playlist et d'une bonne poursuite des intrigues majeures. Je le dis, contre vents et marrées de critiques négatives que peut subir cette saison, personnellement, je m'amuse comme un gamin.
Un très bon épisode, pas exempt de défauts, certes, mais qui parvient à nous captiver de bout en bout au son d'une songlist entraînante et d'intrigues qui s'entrelacent et se poursuivent à leurs rythmes. Glee n'oublie pas ce qui a fait sa renommée et nous sert (ce qu'elle avait perdu depuis longtemps) ses messages d'espoir et de tolérance (en référence à l'intrigue d'Unique) et n'oublie pas non plus son humour si propre et son lot de surprises à travers la métamorphose incroyable de Sue en Nicki Minaj : décidément, après Emma sur Getting Married Today, les révélations vocales ne cessent et sont toujours aussi impressionnantes. Une réussite.
En se demandant l'intérêt d'un épisode spécial musiques de cinéma, on cherche aussi la qualité des chansons cette semaine... Aussi bizarre que cela puisse paraître, à part deux ou trois musiques, à mon goût, la playlist est ratée. Non seulement dans l'interprétation que dans la mise en scène, qui se devait pour l'occasion d'être sans faille et qui au final n'a quasiment aucune originalité. Côté intrigues cependant – et merci de ne pas les avoir mises de côté dans un épisode où il y a beaucoup trop de chansons – on se réjouit de voir la poursuite des arcs narratifs principaux du moment, à savoir la suite des aventures de nos couples préférés ainsi que les secrets de Brody et de Rachel. On reprochera toutefois la non poursuite de ce qui aurait pu s'avérer intéressant à traiter, à savoir les couples Santana-Quinn et Artie-Betty, mais aussi les intrigues dont on a absolument plus aucune nouvelle depuis des lustres (l'exemple de la fille de Sue est le plus flagrant) et qui n'aide pas à faire passer la pilule. Dommage. L'épisode reste néanmoins agréable à suivre, mais ne soyez pas trop exigeants face à la série cette semaine...