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Glee poursuit sa lancée et continue à nous proposer des épisodes géniaux. Ce 4x14, qui n'omet en rien l'esprit de la Saint Valentin et qui s'illustre d'ailleurs comme le meilleur épisode spécial dédié à cette fête, est tout simplement extraordinaire : la réunion complète de tous les anciens membres du cast, une narration tantôt divisée au lycée, au lieu du mariage Will-Emma, à New York, des rebondissements, des péripéties, des rires, des frissons, des larmes, une mise en scène nerveuse, accrocheuse et novatrice, une songlist parfaite et bien calculée, des intrigues qui s'épaississent, une série qui gagne en maturité et en qualité, et ce cliffhanger final, à vous couper le souffle, au suspense particulièrement bien trouvé qui va nous maintenir en haleine pendant encore quelques semaines le temps d'une nouvelle pause entre les épisodes. Peu importe quel hiatus il peut y avoir, je suis heureux, parce que j'ai enfin retrouvé mon Glee, et le Glee que j'ai pu voir hier soir, était encore meilleur que dans mes souvenirs.
Un excellent épisode-spécial, qui bénéficie d'une très bonne playlist et de storylines qui s'accordent parfaitement, qui prennent en intensité et en épaisseur, afin de nous offrir dénouements et révélations plutôt satisfaisants quant à la suite de la saison.
Drôle, inventif, émouvant et énergique, ce 4x12 fait partie à ce jour des meilleurs épisodes de cette saison, et peut-être même bien de la série. Le retour et l'apparition de certains anciens est bien maitrisé et fait grandement chaud au cœur, tandis que les nouveaux personnages s'épaississent peu à peu, au rythme d'intrigues inventives bien cousues et au son d'une playlist digne des plus grands charts musicaux. Du Glee comme on l'aime, quoi.
Après plus d'un mois d'une attente interminable, il était de notre droit d'attendre de Glee une remontée en fanfare, surtout après les derniers épisodes qui avaient laissé entrevoir quelques bonnes suites. Et c'est la déchéance totale : rien n'attire un tant soit peu l'attention. Pour la première fois de ma vie, j'ai éprouvé de l'ennui en regardant Glee. Que ce soit parmi les intrigues prévisibles et inutiles ou les chansons tout juste potables, rien n'est à sauver. En plus de nous servir une très grosse déception, la série qui parvenait à nous redonner le sourire dans les moments difficiles et à nous ressourcer de son ambiance énergisante nous laisse totalement sur notre faim et complètement indifférents. Les personnages semblent bien s'amuser durant leur bal à la Sadie Hawkins (copie totale des épisodes de bals de promos qui montre encore la fabuleuse créativité des scénaristes) mais le tout est décevant au possible. En plus de mettre de côté des personnages clés, que ce soit de l'ancien ou du nouveau cast, ce 4x11 est une douche aussi froide que le décor de la salle de bal et enchaine erreurs et dépit, jusqu'à se heurter à l'essence même de la série. Reste plus qu'à espérer que les épisodes prochains remontent le niveau, sinon il semblerait bien que Glee ait totalement perdu de sa qualité et de son génie.
Si l'épisode se perd un peu dans des intrigues farfelues et en oublie au passage la storyline autour de Marley et sa perte de poids, ce 4x10 rectifie au moins les erreurs de son prédécesseur catastrophique (le 3x09) et parvient à alterner avec habileté humour, émotion et révélations. Pas d'ennui à l'occasion comme c'était le cas l'année dernière, et de jolies scènes à prévoir (le rêve d'Artie est génialissime). Si niveau musical, certains chansons peinent à convaincre, d'autres réussissent à nous bercer dans cette ambiance magique et festive. On reprochera cependant l'absence de certains personnages (Unique, Santana...) ou la non mise en valeur d'autres (Kitty, Ryder...), mais dans l'ensemble cet épisode de Noël reste plaisant et agréable à regarder, tout en ajoutant une petite pincée de toute la magie de ces fabuleuses fêtes de fin d'année. Au passage, n'oubliez pas d'aller jeter un coup d'œil aux chansons qui n'ont pas été reprises dans l'épisode mais qui sont disponibles partout sur le net, et bonnes vacances et un Merry Christmas à tous les Gleeks ! A l'année prochaine !
Après un 4x08 à la limite de la catastrophe, utile est de dire que les scénaristes se sont surpassés cette semaine. Si certes, on s'éloigne très légèrement de Lima pour se consacrer à New York, ça fait vraiment du bien de prendre un peu l'air. Techniquement, on touche même la finesse du septième art : le montage s'avère novateur et virtuose, les plans paraissent être issus d'une véritable photographie. Vocalement, c'est la quintessence de Glee : des classiques magiques ré-interprétés de manière fabuleuse et extraordinaire. Les frissons ne cessent de nous parcourir durant ce Swan Song qui mêle savamment drôleries, émotion, et originalité. On retrouve l'essence même de la série qui nous a bercé pendant quatre fantastiques années, et même plus encore. On prie juste pour que Glee ne perde pas en qualité de ses épisodes, tellement elle en a atteint son apogée cette semaine. Swan Song est beau, tendre, humain, mais il est aussi, et ça m'honore de le dire, le meilleur épisode de toute la série.
Si le retour des anciens est bien mis en avant dans ce 4x08, du côté intrigues, c'est la catastrophe. Rien n'est un tant soit peu poussé à bout et les scènes sans intérêt se poursuivent, que ce soit côté New York ou côté Lima, à la manière de cette lamentable scène de dispute entre Santana et Quinn, qui s'oublie aussi vite qu'elle est arrivée. Côté chansons, rien de très extraordinaire à garder si ce n'est l'émouvant mash-up de Homeward Bound/Home. Thanksgiving c'est aussi les Sectionals, qui, outre son jury fade et insignifiant, accumule les clichés et s'enfonce dans la lenteur, au point de nous faire regretter d'avoir cliqué sur Play jusqu'à cette m**** en boîte qu'est Gangnam Style et dont on aurait bien pu se passer. Ce huitième épisode d'une saison qui démarrait pourtant bien déçoit et ennuie, alors espérons que les scénaristes, qui devaient surement être mal réveillés à l'écriture de cet épisode, se rattraperont avant Noël...
Drôle, rythmé, jouissif, un épisode qui nous fait renouer avec l'essence de ce qu'est la série même : une comédie. Les moments comiques s'alternent tellement vite qu'on arrête presque jamais de rire, et pourtant la série parvient à instaurer quelques passages émouvants, comme elle sait si bien les faire. Glee, qui avait abandonné ces derniers temps les messages d'espoir et de tolérance qui avaient fait son succès, revient en fanfare cette semaine avec comme expression clé : nous sommes tous des héros. Car si ce Dynamic Duets ne manque pas de saveur et d'originalité (thème super-héros hilarant), il faut aussi noter que l'absence de Rachel, Kurt ou encore Will ne s'y fait pas sentir une seule seconde. Les scénaristes (qui se sont surpassés sur le montage cette semaine) nous offrent donc un 4x07 maîtrisé, inventif, surprenant, et particulièrement amusant. Bref, on adore !
Vocalement très bon, ce Glease nous montre qu'après un épisode ennuyeux et vraiment moyen (en l'occurrence The Role You Were Born To Play), les scénaristes ont encore de sérieuses ressources dans la poche, en particulier concernant les story lines de la nouvelle fournée de personnages qu'on nous avait pour l'instant balancé trop vite en pleine poire... En cela, ce 4x06 rectifie le tir, car même s'il n'est pas aussi excellent que celui que l'on pourrait désigner comme son jumeau (je pense à The First Time, qui reprenait le même concept), il reste maitrisé de bout en bout. Rachel et Kurt sont bien présents, les nouveaux personnages ont droit à leur intrigues, les chansons et les mises en scène sont particulièrement réussies. S'il manque quelques personnages au générique (comme Emma et Beiste), nous sommes ravis de revoir la toujours très tendre Sue (quelle ironie), bien que ses critiques répétitives peinent à faire rire... Mais on note aussi la présence de la mère de Marley, qui avait été trop rapidement écartée du casting alors que son personnage représentait une nouvelle mine d'or à exploiter. Glease reste donc plaisant, émouvant et rythmé. L'œil de lynx repérera la thématique du miroir (présente presque à chaque changement de plan) qui évoque très bien ce renouveau euphorique et réjouissant de la série.
Décevant, et même ennuyeux à certains moments, ce cinquième épisode d'une saison qui démarrait sur les chapeaux de roues est loin de répondre à toutes nos attentes. Des anciens qui reviennent mais qui ne sont pas mis en valeur, Rachel et Kurt définitivement absents, des intrigues qui sentent l'air de déjà-vu, trois chansons sur cinq vraiment moyennes dont une qui nous pousse presque à appuyer sur le bouton STOP... Bref, il ne reste plus qu'à espérer que le prochain, qui va nous bourrer une nouvelle fois avec du Grease, remontera la pente...