55 addicts de cette série
Bonne surprise pour Grandfathered, qui, si elle n’opère de virage quant à sa direction générale ou à son ton (ce que l’on peut continuer à regretter), se décide enfin à exploiter les personnages secondaires, en leur donnant plus de place, et en les creusant un peu plus. Et John Stamos fait des claquettes. Voilà.
Suivant le chemin indiqué par le pilot, ce deuxième épisode ne surprend malheureusement pas, et n’offre aucun rebondissement. Là où on aurait souhaité quelque chose de plus transgressif, Grandfathered se révèle plat et plein de bons sentiments. Et il semble déjà trop tard pour inverser la tendance
Pas désagréable, ce pilot est malgré tout loin d’être transcendant, ressasse beaucoup de blagues et comique de situation éculés. Il va falloir être un peu plus transgressif pour devenir vraiment intéressant : le feel-good, ça va 5 minutes !