2042 addicts de cette série
Un épisode doux et, encore une fois, émouvant, ponctué de musiques bien choisies. De la poésie à tous les recoins, sans cependant crever un plafond.
Ce troisième épisode lève le ton un peu sombre des deux premiers et réintroduit un peu de gaité à l’hôpital.
Intrigues pauvres mais épisode réussi, justement parce qu’il ne se concentre exclusivement que sur lui-même, servant une politique à court terme des auteurs qui ne se sont jamais avérés aussi petits bras.
A chaque fois que l’on peste contre le show, celui-ci revient toujours de plus belle pour nous prouver qu’il en a encore derrière le coude.
On ne va pas se plaindre, et on espère que ce sursaut va durer jusqu’à la fin de l’année.
Le show continue son bonhomme de chemin, comme assuré de son succès, l’un des derniers passages obligés de la télévision américaine, et se permet des baisses de régime volontaires.
Présomption ou assurance, l’avenir nous le dira.
Le show annonce les fêtes et boucle la première partie de son année avec un épisode se démarquant peu mais loin d’être mineur.
Et la perspective de Noël pousse toujours à être moins exigeant.
Un épisode décevant, surtout après les élans interdits aux cardiaques des semaines précédentes, mais emballé avec tellement de maîtrise qu’on y trouve son compte.
Un épisode franchement haletant, débarrassé de toute véracité médicale pour n’offrir qu’un ride décérébré mais d’une tension palpable. Pourvu qu’ils poursuivent cette voie.
L’épisode est bien construit, malgré tout, mais je commence à déplorer le peu d’imagination dont les scénaristes font preuve actuellement.