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Un épisode parfait, triste, désenchanté, mais aussi profondément humain.
La supériorité du show n’est plus à démontrer tant elle écrase qualitativement ses congénères, et prouve à ses détracteurs que le show n’est surtout pas mort.
Un épisode plaisant, frais, drôle autant qu’émouvant dans ses dernières minutes, il représente parfaitement la dualité du show : c’est toujours la même chose, mais on aime toujours autant.
Cet épisode a pour objet de briser la carapace de Wilson comme de House, et d’exprimer, tout en pudeur et non dits, l’amitié profonde qui unit les deux hommes.
C’est réussi, drôle et émouvant, et ça s’éloigne des carcans habituels du show.
Une sucrerie narrative réussie, comme à chaque fois où la série joue avec ses codes.
Un épisode réussi, comme les autres avant lui. Si une certaine (et normale) lassitude pointe le bout de son nez, c’est seulement dû aux limites du show, et non à la qualité des épisodes. Encore heureux.
Un bon épisode, même si l’on s’éloigne des bouleversements incroyables du début de saison pour revenir progressivement à la routine Housienne.
On n’est donc pas aussi surpris que depuis le début de la saison, mais le show garde son contrôle qualité. Ce qui fait d’un épisode juste moyen, un épisode déjà bien loin de la concurrence.
A côté de cet épisode foisonnant, Gregory House continue son apprentissage, jusqu’à devenir peu à peu une bonne personne. Son intrigue prend le spectateur à revers et il en résulte une jolie conclusion.
La série est comme touchée par la grâce, et on hâte de voir ce que les auteurs nous ont réservés pour la semaine prochaine.
Impossible qu’ils fassent encore mieux.
Ca y est, la série retombe en terrain connu après un season premiere dynamitant les codes de la série ? Pas sûr.
On n’a jamais été aussi impatient de voir ce que le futur nous réserve, qu’avec ce Gregory House nouveau. Toute la dynamique du show risque d’être bouleversée.