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Le show continue son petit bout de chemin vers la médiocrité. Si certains gags font sourire (la fausse bande annonce), c’est seulement grâce au souvenir que l’on garde de la série originale, la seule et unique Scrubs.
Sans JD, cette pâle récusée va sombrer, et salir à tout jamais le nom de ce qui fut jadis un merveilleux show.
La série est à conseiller aux inconditionnels de Scrubs, cherchant à passer encore un peu de temps avec ses personnages préférés, ou aux vierges du show, qui pourront profiter de cette ressuscitation d’un œil neuf.
Mais en l’état, cette « neuvième saison » s’apparente à ce que le Canada Dry est au Champagne. Une copie pale, sans âme, lourde et à l’ivresse inexistante.
Voilà tout, pour cet épisode, qui montre encore que le changement de network a bien réussi à Scrubs et que cette huitième saison signe le retour aux sources de ce qui a fait le succès de la série dans ses premières années.
Courteney Cox dans le rôle du Dr Maddox succède à Kelso, mais passe inaperçu dans ces deux épisodes à part pour le renvoi du concierge qui risque de faire du grabuge dans le prochain épisode.