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Les scénaristes ont conclus les intrigues et ont parfois réussi à gentiment nous surprendre. Si ce final n’est pas le plus drôle de la série, qu’importe. Ils nous ont fait rire pendant 9 saisons. Ils pouvaient se permettre de faire un dernier épisode plus tendre. Après tout, les adieux ne sont jamais drôles.
Allez, la fin elle, elle est pour vous.
9 saisons, c’était long et c’était bon. Thats what she…
Contrairement à l’épisode 21, cette fois le dosage humour / émotion est plus judicieux. Un vrai retour aux fondamentaux. On rit beaucoup, mais avec de l’émotion en plus. Quoi de mieux avant de leurs dirent au revoir
La folie des personnages est là, mais les mises en situation ne sont pas nouvelles. Quelques simples sourires ne font pas une comédie. On attend plus d’une telle série, surtout quand la fin est aussi proche.
La série nous offre un souffle d’air frais, à quelques épisodes de la fin, ça fait plaisir.
Encore un épisode qui rend nostalgique. On ne passe pas un mauvais moment, certes, mais ça ne suffit pas.
Un épisode qui rend triste. C’est agréable à regarder, même si on ne rit pas énormément mais surtout, on se souvient que c’était tellement mieux, avant.
Si vous voulez des intrigues amoureuses, foncez, l’épisode en développe et en crée. C’est drôle, mais ce n’est pas assez.
L’épisode oscille entre nostalgie, expérimentation et changements. Plutôt réussit.
Les scènes laissent davantage de place aux personnages secondaires, et ça fait plaisir. Michael est à la hauteur de ce qu’on attend de lui. Jim et Dwight, moins. Pour Erin et Andy, il faut attendre.
Rehaussé de détails sympathiques, l’épisode « spécial naissance » déçoit. On veut la fraicheur, la candeur et l’humour à laquelle on est habitué.