Outre une abondance de twists à la cohérence douteuse (c'est un euphémisme!!) et les clichés en pagaille sur Ibiza, White Lines propose des péripéties franchement idiotes, dignes d'une parodie à certains moments.
On reconnaît bien là les pires penchants du créateur de La Casa de Papel (une partie 4 absolument ratée, une troisième bourrée de trucs incohérents), qui tente de nous embarquer dans cette histoire banale et stupide... sans réussite.
En bonus, l'actrice principale, Laura Haddock, est absolument insupportable et joue très très mal.
Le 24/02/2021 à 11h53
Outre une abondance de twists à la cohérence douteuse (c'est un euphémisme!!) et les clichés en pagaille sur Ibiza, White Lines propose des péripéties franchement idiotes, dignes d'une parodie à certains moments.
On reconnaît bien là les pires penchants du créateur de La Casa de Papel (une partie 4 absolument ratée, une troisième bourrée de trucs incohérents), qui tente de nous embarquer dans cette histoire banale et stupide... sans réussite.
En bonus, l'actrice principale, Laura Haddock, est absolument insupportable et joue très très mal.