The Office (US) - 9x22 : A.A.R.M. Part 1

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Dwight prend les choses en main dans cet avant dernier épisode. Enfin c’est ce qu’il croit. En effet il a commis l’erreur de nommer Jim assistant du manager régional et ce dernier décide donc de reprendre gentiment les hostilités avec son nouveau patron.

Et il faut bien dire qu’il y avait longtemps que ce duo n’avait pas été aussi bon. On retrouve la folie des premières saisons. Les duels Dwight / Jim ont toujours été une force implacable dans The Office, même si dans cet épisode, ce n’est pas un duel à proprement parler car c’est surtout Jim qui manipule Dwight une fois de plus. Un point fort qui aurait dû être exploité plus souvent depuis le départ de Michael Scott. Mais pourtant, lorsqu’ils ont besoin l’un de l’autre, ils sont capables d’oublier leurs enfantillages.

C’est grâce à Angela, qui vit avec son fils chez Oscar, que les choses vont aller vers plus d’émotion. Dwight est toujours amoureux d’elle et ce, même s’il est sur le point de faire sa demande à sa fermière de petite amie. En voyant le fils d’Angela au bureau, il reste persuadé qu’il est le père de l’enfant et tout aussi persuadé qu’il aime Angela. C’est ce qui va déclencher son besoin d’être aidé par Jim. Ce dernier est en train d’essayer de faire comprendre à Pam qu’elle est sa priorité. Dans une belle scène, très bien réalisée et bien écrite, Jim explique à Dwight pourquoi il devrait tenter sa chance avec Angela. Pendant ce temps, Pam découvre le cadeau de son mari. On comprend ensuite que leurs problèmes sont résolus, qu’ils sont parvenus à vaincre les difficultés.

Dwight finit donc par faire sa demande à Angela et c’est de cette façon qu’elle lui révèle qu’il est bien le père du petit Phillip. Là aussi on sent que les scénaristes ont voulu conclure les intrigues pour pouvoir se concentrer sur le grand final.

La séquence dansée des adieux de Darryl est plutôt sympa, mais il manque ce petit plus qui en aurait fait une scène culte. On aurait préféré voir une scène digne de Broadway. Celle-ci manquant d’envergure.

Hors de Dunder Mifflin, les scènes d’Andy ne sont pas très intéressantes, elles viennent même casser le rythme d’un bon épisode. C’est sûr, Andy a toujours été un peu pathétique mais là, il se débat dans un concours de chant façon American Idol et se déguise en vieillard. On se demande où les scénaristes vont emmener le personnage pour le final puisqu’à la fin il revient vers ses collègues un peu déprimé par les mauvaises remarques que lui ont fait le jury du casting.

Concernant la fin de l’épisode, on ne voit rien de la diffusion du documentaire, c’est dommage. Mais voir tous les personnages face à l’écran, nous laisse déjà avec de la nostalgie.