Direction artistique chaotique, intrigues stériles, caractérisation bâclée et développement décousu : l’apocalypse zombie n’a jamais été aussi ennuyeuse.
Une pépite ! Avec certes quelques imperfections mais dans l’ensemble Euphoria est une claque qu’il faut se prendre sans attendre. Du casting à la réalisation, la série possède beaucoup de talent sur lesquels s’appuyer. La saison 2 est confirmée donc il faut juste un peu de patience maintenant.
Un rythme élevé, une bonne dynamique ne font pas tout. La série manque de plus en plus de profondeur et tout simplement de thèmes intéressants. On fait du réchauffé, on compte sur quelques bonnes idées et la régularité d’un cast qui donne tout. Mais il est surtout grand temps que la série s’arrête.
Sequel dispensable qui n’en est pas moins dénué de sens. L’intrigue évolue de manière pertinente, portée par les prestations justes et solides du casting principal. Les deux saisons forment ainsi un tout cohérent qui perd tout de même son excellence en cours de route.
Une troisième saison qui impressionne et impose aussi une nouvelle direction. Cela a déplu à certains mais je pense que The Good Fight a trouvé sa voie et son public. Je retiendrai de cette saison des séquences marquantes et des répliques qui touchent. Une réalisation presque parfaite et un casting au top. Petit regret sur le départ (officiel) de l’actrice Rose Leslie.
Une saison décevante, trop superficielle malgré le potentiel de quelques arcs. Les épisodes manquent souvent de direction et s’enchaînent sans but précis. Il faut que la production (la nouvelle) tente de redresser la barre car malheureusement le public suit de moins en moins…
Une saison qui tient grâce à un duo et la performance de ses comédiens. Le scénario malheureusement manque de beaucoup de choses, à commencer par de la profondeur. Au-delà de la relation Eve/Vilanelle qui est incroyable, la production ne met aucun effort dans l’écriture des personnages ou de l’intrigue.
Ultime saison inégale à la narration classique presque bâclée. Game of Thrones se termine sur une inexplicable course contre la montre qui dynamite plusieurs années d’intrigues soigneusement construites et de caractérisation des personnages finement brodée. Le navire (narratif) qui commençait déjà à prendre l’eau la saison dernière est sauvé du naufrage par le savoir-faire technique et créatif d’exception des équipes de terrain qui permettent de conclure la série sur une note honorable.
Si The Society veut survivre à l'annulation, il faudra que la série prenne une ampleur plus dramatique, à la manière d'un The 100 ou d'un The Walking Dead, afin de captiver davantage le spectateur.
La série peut, en effet, vite tourner en rond si elle se replie sur elle-même et si elle persiste dans des intrigues trop politisées (où chacun veut le pouvoir à tout prix) et amoureuses, The Society risque fort de devenir ennuyeuse. Bien entendu, la qualité de The Society est que les ennemis sont à l'intérieur, mais elle devrait s'étoffer avec des menaces extérieures pour, comme je le disais, ouvrir des horizons plus divertissants.
Une deuxième saison de toute beauté mais qui manque souvent de profondeur au niveau de l’écriture de ses personnages et même parfois du scénario. Je retiendrai surtout l’arc de Lilith qui se démarque de tous les autres grâce en particulier à son actrice.