Si globalement elle tient la route, la célèbre Bataille de Winterfell n’est pas à la hauteur de l’engouement et de l’attente dont elle a fait l’objet. Indéniable prouesse technique, l’épisode souffre d’une narration bancale qui dynamite quelque peu l’ampleur des twists et moments cruciaux qu’il met en scène.
Super épisode ! Fun quand il le faut et sérieux pour le reste. Le scénario traite un sujet important de notre société actuelle de belle manière.
Un épisode moyen dans son ensemble malgré l’arc intéressant de Jane et quelques belles scènes.
Quelle déception ! Trop brouillon, trop facile, trop superficiel ! Heureusement quelques belles scènes sauvent ce final. Et une fin qui donne envie d’aborder la saison 3 avec une feuille de route pleine de promesse.
Un épisode très dynamique et agréable à regarder. Mais le scénario montre des failles plus ou moins importantes qui peuvent sur le long terme faire baisser le niveau de la série.
Une deuxième saison réussie avec toujours un Freddie Highmore incroyable qui mérite un ou deux oscars. Je reste marquée par certains arcs comme celui de Morgan ou le combat de Glassman. Attention malgré tout à ne pas tomber dans le soap opéra en choisissant parfois la facilité pour créer de l’émotion.
Contre toute attente, la série signe une antichambre subtile et soignée du climax à venir, évitant ainsi de griller trop rapidement ses cartouches. Un pari risqué mais remporté haut la main.
Un antagoniste de haut vol, des lancés de hache et un bébé qui pète. Que demander de plus ?
Un bon épisode de reprise avec de l’humour et de l’émotion. Je retiens en particulier le message important transmis qui rappelle que The Bold Type se veut ancrée dans son temps tout en le remettant en question.
Un épisode qui se regarde et qui peut sans doute émouvoir. Mais pour un final (part 1), les enjeux présentés sont trop vite mis de côté et il y a un manque cruel d’action. L’émotion oui mais pas au détriment du scénario.