Un bon épisode. Solide dans son écriture et soutenu par une Marie Avgeropoulos très en forme.
Une bonne reprise avec un choix d’écriture qui peut être à double tranchant selon la suite de la série. Belle performance d’Eliza Taylor (ou Taylor-Morley je ne suis pas certaine) !
Quelle reprise ! Tellement drôle et originale ! The Good Fight est une série faite de moments de grâce et la saison n’a même pas commencé.
Il y a beaucoup de choses que je souhaitais écrire sur ce final mais j’en garde un peu pour le bilan… C’est une déception et un loupé presque complet pour la production. Heureusement il y a de la qualité dans le cast, dans la réalisation… Mais clairement le scénario a manqué de temps et a préféré une efficacité parfois incohérente dans le but de tourner la page. C’est dommage car il s’agit clairement de mauvais choix et cela malgré toutes les bonnes idées présentées le long de la saison.
Un bon épisode qui aurait pu être génial sans les incohérences ou l’arc de Bernard qui est pour l’instant bien vide d’intérêt.
Un épisode bien rythmé ! On ne s’ennuie pas, l’histoire avance et la scène finale est magnifique. Attention par contre à certaines facilités d’écriture qui gâchent un peu l’ensemble du travail.
Un épisode intéressant mais qui pour moi a des loupés notamment dans sa scénographie. Il y a de superbes scènes et l’histoire continue de se dévoiler peu à peu. On approche déjà de la fin de la saison…
Sans doute le meilleur épisode de la saison pour l’instant. Le scénario est écrit avec précision et ouvre des portes sur de belles possibilités.
L’œuvre de Robia Rashid de distingue cette année par une intrigue creuse à la narration visuelle et scénaristique superficielle. Les personnages sont livrés à eux-mêmes dans ce qui s’avère être un déjà-vu regrettable. La feel good Atypical à qui l’on pardonnait volontiers le manque de prise de risque est devenue un coming-of-age gnangnan malgré le singulier point de vue de l’autisme.
Un épisode magnifique visuellement mais un peu lent. Énorme performance de Tessa Thompson.