Beaucoup d’émotion et une très belle chanson « I’m No Heroine » d’Emily Wells pour clôturer cet épisode.
Sequel dispensable qui n’en est pas moins dénué de sens. L’intrigue évolue de manière pertinente, portée par les prestations justes et solides du casting principal. Les deux saisons forment ainsi un tout cohérent qui perd tout de même son excellence en cours de route.
Standalone dénué d’intérêt qui souffre d’un sérieux manque de rythme.
Un épisode génial qui possède de très belles séquences et une bonne réalisation.
Un super épisode avec de l’émotion et une histoire qui fait un grand bon en avant !
Exercice de style intéressant qui tire néanmoins en longueur. S’il n’a pas la carrure ni le rôle d’un mid-season premiere, l’épisode s’en tire correctement.
Une troisième saison qui impressionne et impose aussi une nouvelle direction. Cela a déplu à certains mais je pense que The Good Fight a trouvé sa voie et son public. Je retiendrai de cette saison des séquences marquantes et des répliques qui touchent. Une réalisation presque parfaite et un casting au top. Petit regret sur le départ (officiel) de l’actrice Rose Leslie.
Simplicité et facilité pour un mid-season finale sans saveur à l’image du reste de cette première partie de saison.
Un début un peu timide malgré quelques bonnes séquences. On présente tranquillement les futurs arcs de la saison.
Un épisode de transition faiblard qui n’a pas sa place ici à l’aube de la mi-saison.